
Dans à peine 6 mois, la dernière échéance de la réglementation INCO entrera en vigueur. C’est pourquoi j’ai décidé aujourd’hui de faire un petit rappel sur l’étiquetage de l’origine des produits.
Dans à peine 6 mois, la dernière échéance de la réglementation INCO entrera en vigueur. C’est pourquoi j’ai décidé aujourd’hui de faire un petit rappel sur l’étiquetage de l’origine des produits.
La mise en œuvre d’outils de pilotage de l’innovation constitue un enjeu majeur pour les industries du secteur agroalimentaire et des produits de grande consommation. Une entreprise qui veut vendre un nouveau produit, ou en réviser, a des dizaines de caractéristiques à prendre en compte telles que la documentation, les ingrédients, l’étiquetage, le dimensionnement, l’approvisionnement, les fournisseurs, la réglementation, etc.
L’agriculture et l’agroalimentaire sont assurément des secteurs d’avenir. D’une part parce que d’ici à 2030 la population mondiale devrait augmenter et d’autre part la hausse du cours des matières premières n’est pas prête de s’arrêter.
En 2030, nos aliments seront à la fois très naturels et en même temps une palette de produits artificiels très technologiques viendra compléter notre alimentation.
Lire la suiteLes échanges entre l’entreprise et ses fournisseurs sont très nombreux. C’est pourquoi communiquer et interagir efficacement avec eux est essentiel : cette collaboration nécessite un formalisme bien plus élaboré surtout quand il s’agit d’échange de données autour d’un ou plusieurs produits.
Plusieurs types de logiciels se positionnent sur cet enjeu mais la technologie PLM a l’avantage de permettre de mettre à disposition des industriels un portail fournisseur tout en assurant le lien avec l’ensemble du cycle produit.
Une étape de plus pour le projet de loi du fameux étiquetage nutritionnel basé sur un code couleur. L’ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail) a publié ce Mardi 04 Avril son rapport comparant les systèmes de score nutritionnel: le SENS (Système d’étiquetage nutritionnel simplifié) et le 5-C.
Pour rappel l’article 5 de la loi de santé de la ministre Marisol Touraine du 26 janvier 2016 prévoit qu’une information facultative résume, au moyen de graphiques ou de symboles placés sur les emballages, certains éléments de qualité nutritionnelle en vue d’améliorer l’information du consommateur.
Dans l’un de mes précédents articles (que vous pouvez retrouver en cliquant-ici), je vous évoquais que le marché des produits « sans gluten » avait vu son chiffre d’affaires doublé.
J’ai décidé aujourd’hui de m’intéresser aux normes et aux labels concernant ces produits. En effet, on peut observer par exemple, dans les restaurants, que de plus en plus de professionnels apposent le logo de l’épi de blé barré sur leurs cartes en face de leurs plats.
Que ce soit dans le monde alimentaire ou plus généralement des produits de grande consommation, piloter un projet nécessite d’être capable de gérer, de constater, d’analyser, de disposer de KPI ou encore de corriger. En cela le PLM se positionne comme un outil opérationnel pour piloter au quotidien les tâches et les décisions liées au développement des produits et des projets. C’est en particulier le cas pour les PLM agroalimentaires.
2015 est une année record pour le marché du bio en France avec un chiffre d’affaire de 5,5 milliards d’euros soit une hausse de 10% par rapport à 2014.
Selon les dernières données du baromètre de l’agence Bio/CSA, les consommateurs français sont de plus en plus nombreux à acheter du bio.
3 ans seulement après le scandale alimentaire des lasagnes à la viande de cheval, l’association de consommateurs UFC Que Choisir, a publié hier une enquête pour la moins accablante concernant la mention de l’origine des viandes dans les produits transformés.
Réalisée du 25 Janvier au 1e Février 2016, l’UFC Que choisir a étudié un échantillon de 245 produits transformés à base de viande de porc, de bœuf et de poulet pour 13 marques nationales et 7 enseignes de la grande distribution.
Un résultat terrifiant montrant que 54% de ces produits font l’impasse sur l’étiquetage de l’origine de la viande.
Même si cela fait plusieurs années que les marques de distributeurs (MDD) ne s’avouaient pas vaincues face aux marques nationales en misant sur les innovations, celles-ci voient leur part de marché diminuée dans les hypers et supers marchés depuis maintenant 2012. Selon la dernière étude réalisée par Nielsen pour le salon MDD Expo, les MDD ont perdu 1 point sur l’année 2015 passant de 29% à 28% de PDM (en valeur).