Le sourcing est un des facteurs clés de la réussite de la stratégie de marque. En témoignent les récentes alliances établies entre différents distributeurs – Carrefour / Tesco, Casino / Auchan / Métro – qui visent à massifier l’approvisionnement pour répondre à la compétition toujours croissante du marché. Découvrez les bonnes pratiques qu’un PLM vous permet de mettre en place.
All posts by Noémie REGNIER
L’entreprise a beau recruter les meilleurs éléments, si elle est incapable de les faire travailler ensemble, elle se prive d’une valeur ajoutée considérable. Et bien que l’esprit d’équipe soit une qualité propre à chacun, elle ne peut s’exprimer que si les bons outils sont disponibles.
D’une part, l’extrême maturité des segments que l’on pourrait qualifier de « traditionnels » limite le potentiel de conversiondes innovations de produit. D’autre part, les marchés de niche font la part belle à l’innovation mais sont très rapidement investis et se voient saturés à une vitesse remarquable. Ainsi, ce n’est pas tant l’innovation en elle-même qui fera le succès d’un produit mais davantage la maîtrise du processus d’innovation.
En travaillant dans l’agroalimentaire, vous avez déjà entendu ou même participé aux conversations qui suivent autour de la machine à café. Elles soulèvent bien des questions – étiquetage, suivi de projet, collaboration ou formulation – auxquelles une solution PLM (Product Lifecycle Management) apporte des réponses efficaces et concrètes.
On observe dans le secteur de la grande distribution une disparition progressive des frontières à la fois entre les différentes échelles géographiques local/continental/global, c’est la « glocalisation », et entre les mondes physique et digital, c’est le « phygital ».
Les stratégies de sourcing, de category management, de marketing ou encore d’expérience consommateur doivent répondre aux défis de continuité et d’agilité.
Le développement d’un nouveau produit cosmétique peut se résumer aux quatre grandes étapes de conception, développement, production et commercialisation, regroupant une grande diversité de problématiques et d’acteurs.
Bio, sans gluten, équitable, local, vegan, healthy, éco-responsable, premier prix, premium… Les exigences toujours plus précises des consommateurs ont fractionné le marché des biens de consommation en de nombreux nouveaux segments. Ainsi, les niches de différenciation se raréfient et se rétrécissent, limitant leur potentiel de rentabilité : cœurs de cible plus restreints, saturation plus rapide…
L’avantage concurrentiel de l’entreprise ne se situe donc plus dans l’innovation elle-même, mais dans la maîtrise du processus de développement du produit. Un domaine dans lequel le PLM (Product Lifecycle Management) a toute sa place.
Le PLM, outil élémentaire de l’innovation collaborative
Les termes de transformation numérique ou informatique préoccupent beaucoup les entreprises ces dernières années. Elles prennent effectivement conscience de l’incroyable potentiel du digital : performance, réactivité, transparence, proximité avec le consommateur… 91% des PME et ETI ont entamé leur transformation digitale et 76% la considèrent comme un levier d’innovation.1
On évoque de plus en plus, au sein des entreprises, la notion de « SRM » qui signifie « Supplier Relationship Management », soit la gestion de la relation fournisseur en français.
Aujourd’hui, les fournisseurs ont un rôle de plus en plus indispensable dans le développement des nouveaux produits et au bon fonctionnement des entreprises.