Les distributeurs et les industriels sont tous deux responsables de l’affichage des informations relatives aux produits. Tandis que d’un côté l’industriel doit veiller à la conformité des emballages de ses produits, les réglementations associées sur la VAD exigent également que les distributeurs fournissent aux consommateurs toutes les informations relatives aux produits dans le point de vente.
Tandis que le salon international de l'alimentation (SIAL) édition 2014 ferme ses portes, faisons un point sur les grandes tendances de consommation qui guideront les innovations produits.
5 grands axes ressortent de l'arbre des tendances établis par le cabinet XTC World Innovation :
Pour rester compétitif, les professionnels de la cosmétique doivent, plus que jamais, être attentifs aux évolutions du marché en terme de tendance et optimiser à leur tour leur politique d'innovation. Maîtriser l'ensemble des étapes de la vie d'un produit est le défi que doit relever ce secteur.
Et la difficulté réside principalement dans la capacité, de ces industries, à gérer efficacement la collaboration entre les ressources internes et externes, notamment lors de la constitution du dossier d'information produit.
Tandis qu’un projet de loi sur l’étiquetage nutritionnel basé sur un code couleur est en préparation et suscite déjà les débats, Carrefour fait l’actualité de ces dernières semaines en lançant pour la fin 2014, ses propres indicateurs de couleur.
Le règlement INCO 1169/2011 prévoit que le consommateur ait accès à certaines informations (telles que la provenance et l'origine du produit, la déclaration nutritionnelle, la liste des ingrédients, etc.) concernant les produits qu'il compte acheter et consommer.
La vente à distance ne déroge pas à la règle. Toutes les mentions obligatoires doivent être communiquées si le produit est destiné à la vente et au consommateur final. Celles-ci doivent être indiquées pendant l'acte commercial et avant la conclusion de l'achat. En outre, l'exploitant doit transmettre, au moment de la livraison, toutes les mentions obligatoires.
Pour les denrées alimentaires proposées à la vente à distance (vente par correspondance, sur internet, le drive …) l'exploitant du secteur alimentaire responsable des informations du produit veille à la présence et à l'exactitude des informations.
Je me suis rendue hier au colloque organisé par GS1 concernant la réglementation INCO; une journée riche en informations et qui a suscité de nombreux débats tout au long de cette journée.
Autour de tables rondes, le débat s'est ouvert autour des distributeurs invités tels que Carrefour, Système U, Provera, ou encore autour d'industriels avec la présence de Bongrain et Nestlé France.
Après que chacun nous ait présenté leur démarche face à la nouvelle réglementation INCO, tous se sont accordés à dire que cette nouvelle réglementation rimait avec « opportunité ». En effet, selon eux, cette réglementation ne doit pas être perçue que comme une contrainte. Pourquoi ?
Il y a quelques semaines nous avons vu ensemble à quoi ressemblait un étiquetage conforme à INCO. Aujourd’hui faisons un aparté sur la déclaration nutritionnelle.
Quels sont les grands changements concernant la déclaration nutritionnelle ? Quelles sont les valeurs obligatoires ? Quelles sont celles facultatives? Quels sont les nouveaux termes à employer?
La réglementation INCO fait partie des thèmes clés du moment. En effet, l'échéance arrive à grands pas! Dans moins de 6 mois, la première deadline de la réglementation INCO 1169/2011 entrera en vigueur.
Après avoir vu ensemble en quoi consistait cette nouvelle réglementation, je me suis intéressée au décryptage complet d'un étiquetage en conformité.
L’étiquetage des produits chimiques est une source importante d’informations. Il alerte sur les dangers que le produit chimique présente pour la santé et pour l’environnement. Il précise également les précautions à prendre en cas d’utilisation, les consignes pour leur stockage et la conduite à tenir en cas d’accident. L’étiquette d’un produit chimique comprend des pictogrammes, des mentions de danger et des conseils de prudence.
Toutes ces informations doivent être conformes à la réglementation.Depuis l’entrée en vigueur en janvier 2009 du nouveau règlement CLP (CE n° 1272/2008 : Classification, Labelling and Packaging) celui-ci modifie manifestement les repères et les habitudes des industriels qui doivent adopter ces évolutions réglementaires : nouveaux pictogrammes, nouvelles étiquettes, nouvelle classification des dangers…
Produits chimiques : qui dit nouvelle réglementation, dit nouvel étiquetage !
Lire la suiteCela fait à peine 2 jours que le décret d'application relatif à la mention «fait maison» a été publié, que celui-ci est déjà vivement critiqué. Et pour cause ! Plusieurs contradictions apparaissent. A commencer par : la pomme de terre ! Pourquoi dans un plat « fait maison » autoriser tous les produits pelés, tranchés, épluchés … et écarter comme par hasard les pommes de terre ? La réponse est toute trouvée : exclure la restauration rapide et les fast-foods !