Je me suis rendue hier au colloque organisé par GS1 concernant la réglementation INCO ; une journée riche en informations et qui a suscité de nombreux débats tout au long de cette journée.
Autour de tables rondes, le débat s’est ouvert autour des distributeurs invités tels que Carrefour, Système U, Provera, ou encore autour d’industriels avec la présence de Bongrain et Nestlé France.
Après que chacun nous ait présenté leur démarche face à la nouvelle réglementation INCO, tous se sont accordés à dire que cette nouvelle réglementation rimait avec « opportunité ».
Réglementation INCO : pourquoi elle ne doit pas être perçue que comme une contrainte
- D’une part, car cela renforce l‘information produit pour le consommateur. Aujourd’hui, avec les différents scandales agroalimentaires auxquels le secteur a dû faire face, il faut regagner la confiance des consommateurs.
- D’autre part, jouer le jeu de mettre le plus d’informations possible sur son produit devient un bon moyen marketing pour le vendre. Plus le consommateur dispose d’informations et plus il sera susceptible d’acheter le produit. Il se sentira rassuré.
- La nouvelle réglementation va également permettre, en interne, de favoriser les échanges et la collaboration entre les différents services de l’entreprise, comme le service qualité et le service marketing. Une collaboration qu’ils n’avaient jusqu’à maintenant peut-être pas l’habitude de faire.
- Enfin, cette nouvelle réglementation, qui nécessite un grand nombre de données structurées, va permettre aux différents professionnels du secteur d’entretenir une base de données fiable et à jour.
Et c’est là que le « problème » commence. En effet la problématique des industriels repose sur la constitution de cette base de données. La réglementation impose des contraintes importantes auxquelles les industriels doivent faire face rapidement en termes d’organisation, ce qui va nécessairement entrainer des couts importants.
C’est dans le cadre de cette démarche que nous accompagnons les professionnels du secteur, en leur proposant une solution adaptée aux exigences de cette nouvelle réglementation INCO et à leurs besoins.
Réglementation INCO : nous faisons de cette contrainte, une opportunité pour les professionnels du secteur de l’agroalimentaire et de la restauration.
En proposant sa solution, Lascom CPG permet de centraliser l’ensemble des données et des documents du produit au sein d’un référentiel unique. L‘information produit est alors structurée et fiable.
Lascom CPG s’appuie également sur un outil de formulation permettant de créer ou modifier des recettes, pour automatiser le calcul des valeurs nutritionnelles et l’édition des listes d’ingrédients, des allergènes et des allégations.
Ce module, mis à jour de façon à répondre très précisément aux exigences de la nouvelle réglementation INCO, va permettre aux industriels de générer automatiquement la fiche d’étiquetage. Une étiquette conforme répondant aux contraintes de formes (caractères > 1,2 mm ou 0,9 mm pour les emballages dont la face la plus grande est > 80cm²) ou encore aux contraintes de multi-langues.
En misant sur une solution PLM, Lascom vous prépare au futur ! Alors pas de panique, il n’est pas trop tard pour réagir.
Pour plus d’informations sur la réglementation INCO 1169/2011, téléchargez gratuitement notre guide pratique: « Réglementation INCO, et après? ».
Bonjour
D'accord sur le fait que ce soit une opportunité. Dommage que cela n'ait pas été l'occasion de se rapprocher de l'étiquetage général et nutritionnel déjà appliqué aux USA.