Nouvelle restriction sur le phénoxyéthanol, conséquences du Brexit pour les produits cosmétiques, nouvelles interdictions pour les allégations « sans », substances controversées en phase d’interdiction… Compte rendu des points clés de la journée COSMED dédiée aux enjeux règlementaires des acteurs de la cosmétique. Le 21 mars 2019 se tenait la rencontre annuelle des industries cosmétiques sur le thème des actualités règlementaires sur les marchés français et européen.
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Sans silicones, sans sulfates, sans polyéthylène glycol (PEG)… Nombreuses sont les marques de cosmétiques qui ont affiché sur le packaging de leurs produits ces allégations « sans ». Pourtant, au 1er juillet 2019, la plupart de ces allégations « sans » seront interdites par l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (l’ARPP).
Les allégations nutritionnelles et de santé sont de puissants atouts marketing pour les industriels de l’agroalimentaire et souvent synonymes de défis pour les équipes R&D et réglementaires. Mais quelles sont les différences entre ces deux types d’allégations ? Les contraintes réglementaires sont-elles bien respectées ? Et comment s’y conformer ?
A l’heure où 91% des consommateurs considèrent ne pas connaître l’origine des viandes intégrées aux plats préparés, les industriels sont soumis à des obligations minimales de transparence. Retour sur le décret n°2018-1239 qui concerne les obligations d’étiquetage de l’origine de la viande et du lait.
Le Règlement UE N°1223/2009 sur les produits cosmétiques fait autorité sur le marché Européen et a fait l’objet de 4 amendements au cours de l’année 2018. Découvrez quelles catégories de produits sont concernées et dans quelles mesures !
Le 19 septembre 2018, l’association de protection de consommateurs foodwatch lançait une pétition visant un géant de l’industrie laitière. Mais ce qui est dénoncé comme une volonté de tromper le consommateur est-il vraiment à mettre sur le dos de l’industriel ? Que dit la réglementation ?
En novembre 2017, la DGCCRF précisait les modalités d’application de l’article 4 du règlement n°1334/2008 portant sur les denrées aromatisées, et notamment les dénominations fantaisies et légales à utiliser pour ne pas induire le consommateur en erreur, l’un des principes fondateurs du règlement « Inco » n°1169/2011.