
Le développement d’un nouveau produit cosmétique peut se résumer aux quatre grandes étapes de conception, développement, production et commercialisation, regroupant une grande diversité de problématiques et d’acteurs.
Le développement d’un nouveau produit cosmétique peut se résumer aux quatre grandes étapes de conception, développement, production et commercialisation, regroupant une grande diversité de problématiques et d’acteurs.
Bio, sans gluten, équitable, local, vegan, healthy, éco-responsable, premier prix, premium… Les exigences toujours plus précises des consommateurs ont fractionné le marché des biens de consommation en de nombreux nouveaux segments. Ainsi, les niches de différenciation se raréfient et se rétrécissent, limitant leur potentiel de rentabilité : cœurs de cible plus restreints, saturation plus rapide…
L’avantage concurrentiel de l’entreprise ne se situe donc plus dans l’innovation elle-même, mais dans la maîtrise du processus de développement du produit. Un domaine dans lequel le PLM (Product Lifecycle Management) a toute sa place.
Les termes de transformation numérique ou informatique préoccupent beaucoup les entreprises ces dernières années. Elles prennent effectivement conscience de l’incroyable potentiel du digital : performance, réactivité, transparence, proximité avec le consommateur… 91% des PME et ETI ont entamé leur transformation digitale et 76% la considèrent comme un levier d’innovation.1
On évoque de plus en plus, au sein des entreprises, la notion de « SRM » qui signifie « Supplier Relationship Management », soit la gestion de la relation fournisseur en français.
Aujourd’hui, les fournisseurs ont un rôle de plus en plus indispensable dans le développement des nouveaux produits et au bon fonctionnement des entreprises.
Face à un marché très concurrentiel et à des normes de plus en plus exigeantes, il est devenu indispensable pour les entreprises de pouvoir gérer et suivre efficacement toutes les données liées aux produits, de la conception jusqu’à la mise sur le marché.
Lire la suiteTrois mois après son lancement, 33 industriels et distributeurs de l’alimentation se sont déjà engagés à afficher le Nutri-Score sur leurs produits. Le 15 février dernier, l’ensemble des acteurs engagés se sont réunis autour du ministère des Solidarités et de la Santé Publique France pour faire un état des lieux et échanger sur les perspectives internationales de cette démarche.
C’est ce que nous révèle la dernière étude du cabinet Nielson ! Après une baisse des volumes alimentaires en 2016, l’année 2017 affiche un redressement de la consommation en grande distribution. Comme le met en avant l’étude : « Les tendances en matière de concepts magasin, de produits bio et locaux et le dynamisme des petites marques apportent un vrai levier de croissance pour la consommation et laisse envisager de belles perspectives pour 2018″