Malgré une ambiance économique toujours maussade, les ventes des produits de grande consommation (PGC) enregistrent une belle performance pour l'année 2014! En effet, selon les chiffres du cabinet Nielsen, les ventes des PGC augmentent de 1,1% en volume et de 1,3% en valeur soit un chiffre d'affaires d'environ 100 milliards d'euros.
Fabricants et distributeurs ont résisté afin de recréer de la valeur via des innovations comme nous le révèle un article de LSA.
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Cela avait été évoqué en juillet dernier par l'Interbev (l'interprofession du bétail et des viandes), la viande vendue en supermarché ou en libre-service serait accompagnée d'une nouvelle étiquette plus simple, plus claire et dotée d'un code de classification allant de 1 à 3 étoiles selon la qualité de la viande.
Depuis le 3 décembre, Interbev a présenté ces nouvelles étiquettes qui arriveront progressivement dans les rayons des supermarchés.
A moins de 2 semaines de l'entrée en vigueur de la première échéance de la réglementation INCO, je vous propose de découvrir un livre blanc rédigé par nos experts à destination des professionnels de l'agroalimentaire et de la restauration que vous soyez industriels ou distributeurs.
Ce dossier recense et analyse les méthodes pour transformer les exigences de la nouvelle réglementation INCO en opportunités pour les professionnels.
Cette année encore le marché de la restauration rapide (ou vente au comptoir) n'a pas trop à se plaindre. Avec un chiffre d'affaires de 45 milliards d'euros pour l'année 2013, on observe une augmentation d'environ 2% par rapport à 2012 (selon l'étude Gira Conseil Sandwich & Snack Show).
La restauration rapide représente 52% du chiffre d'affaires de la restauration.
Les distributeurs et les industriels sont tous deux responsables de l’affichage des informations relatives aux produits. Tandis que d’un côté l’industriel doit veiller à la conformité des emballages de ses produits, les réglementations associées sur la VAD exigent également que les distributeurs fournissent aux consommateurs toutes les informations relatives aux produits dans le point de vente.
Tandis que le salon international de l'alimentation (SIAL) édition 2014 ferme ses portes, faisons un point sur les grandes tendances de consommation qui guideront les innovations produits.
5 grands axes ressortent de l'arbre des tendances établis par le cabinet XTC World Innovation :
Pour rester compétitif, les professionnels de la cosmétique doivent, plus que jamais, être attentifs aux évolutions du marché en terme de tendance et optimiser à leur tour leur politique d'innovation. Maîtriser l'ensemble des étapes de la vie d'un produit est le défi que doit relever ce secteur.
Et la difficulté réside principalement dans la capacité, de ces industries, à gérer efficacement la collaboration entre les ressources internes et externes, notamment lors de la constitution du dossier d'information produit.
Tandis qu’un projet de loi sur l’étiquetage nutritionnel basé sur un code couleur est en préparation et suscite déjà les débats, Carrefour fait l’actualité de ces dernières semaines en lançant pour la fin 2014, ses propres indicateurs de couleur.
Le règlement INCO 1169/2011 prévoit que le consommateur ait accès à certaines informations (telles que la provenance et l'origine du produit, la déclaration nutritionnelle, la liste des ingrédients, etc.) concernant les produits qu'il compte acheter et consommer.
La vente à distance ne déroge pas à la règle. Toutes les mentions obligatoires doivent être communiquées si le produit est destiné à la vente et au consommateur final. Celles-ci doivent être indiquées pendant l'acte commercial et avant la conclusion de l'achat. En outre, l'exploitant doit transmettre, au moment de la livraison, toutes les mentions obligatoires.
Pour les denrées alimentaires proposées à la vente à distance (vente par correspondance, sur internet, le drive …) l'exploitant du secteur alimentaire responsable des informations du produit veille à la présence et à l'exactitude des informations.
Je me suis rendue hier au colloque organisé par GS1 concernant la réglementation INCO; une journée riche en informations et qui a suscité de nombreux débats tout au long de cette journée.
Autour de tables rondes, le débat s'est ouvert autour des distributeurs invités tels que Carrefour, Système U, Provera, ou encore autour d'industriels avec la présence de Bongrain et Nestlé France.
Après que chacun nous ait présenté leur démarche face à la nouvelle réglementation INCO, tous se sont accordés à dire que cette nouvelle réglementation rimait avec « opportunité ». En effet, selon eux, cette réglementation ne doit pas être perçue que comme une contrainte. Pourquoi ?